Présentation d'un dieu...

Nom :Inconnue

Prénom :Nagato (Pein)

Âge : 22

Taille/Poids :1m80/60Kg

Nindo :Répandre la paix

Village Choisi :Akatsuki

Rang:Chef de l'Akatsuki

Affinité(s) :Six corps, unique détenteur du Rinnegan (Donc toutes les affinités)

Description Mentale :
En réalité, il a un caractère si inhabituel, tellement unique, qu’il en devient l’aspect premier de tout le personnage. Par où commencer ? De nombreux points sont à évoquer, mais nous débuterons par cette étrange tendance à se prendre pour un Dieu.En réalité je me trompe. Pein ne se prend pas pour un Dieu, il est Dieu. Tout en lui le prouve, le personnage dans son entier ne se dirige que vers ce point précis : l’aspect divin qu’il possède. Lui qui n’était comme "s’est transformé en un être supérieur" et "s’est approprié le titre de Dieu de ce monde". Par la souffrance, la peine et le désespoir, le jeune être a d’abord grandi de l’Enfant à l’Homme, puis de l’Homme au Dieu par le même chemin logique. Partant de ce constat simple, tous ses gestes,toutes ses décisions et toutes ses actions sont commandées par l'affirmation suivante : Je suis Dieu. C’est alors développé chez l’être suprême une psychologie détonante qui se persuade elle-même, en permanence, de cette idée. Il s’agit d’ailleurs là du point de départ et de l’explication du reste de la mentalité du personnage. En tant que Dieu, Pein a développé un sens aigu de l’égoïsme poussé à l’extrême, un égoïsme qui s’allie avec un repli sur soit, une excentricité et une forte tendance à se croire invincible. Ce mélange explosif produit un cocktail des plus dévastateur, comme vous devez vous en douter.Cet aspect premier de la personnalité du puissant Pein n’est pas le seul, ni même le plus étonnant. En réalité, ils sont tous très étonnant. En outre nous pouvons ainsi constater une froideur extrême dans le regard mais aussi la personnalité, l’essence même du personnage. Les émotions lui sont étrangères et ce pour une raison très simple : avec elles naissent la haine, la violence et la mort. Ces choses mêmes dont il se dit l’ennemi. Car c’est bel et bien le cas, malgré son aspiration à la divinité de la souffrance, Pein n’en reste pas moins un Dieu pacificateur. L’idée est des plus simple. Par la destruction, la mort et la désolation, Pein veut dompter l’esprit belliqueux de l’Homme faire en sorte que la peur soit le gardien de la paix.

[b]Description Physique : (5 lignes minimum)

Tendoû:Ce corps est celui que nous pouvons aisément qualifier de « corps principal ». Il est le premier à apparaître dans l’histoire et est le plus fréquemment utilisé. Il faut dire qu’il est aussi, et de loin, le plus « stylé ». Son aspect général est assez évasif. La longue robe noir d’Akatsuki recouvre presque entièrement son corps, à telle point que la plupart du temps même ses mains ne sont pas visibles. La toge est relativement classique comme vous le savez, puisqu’elle se compose essentiellement de noir, orné de nuage rouge à contour blanc. La taille générale de ce corps est assez banale pour celle d’un homme arrivé à maturité et ne laisse pas aisément deviner la puissance qu’elle cache en son sein. Pour être plus précis, nous passerons maintenant aux quelques petits points visibles du personnage. Le Tendoû est, comme toutes les autres enveloppes corporelles du Dieu de la souffrance, marqué au visage par de très nombreux piercings. Ces derniers ornent en grandes quantités ses oreilles ainsi que son nez. Mais il est aussi possible d’en voir sous sa bouche, deux sur le côté qui accentue le côté froid et dangereux du personnage. Encore une fois à l’accoutumé pour les corps du personnage, ce dernier a bien entendu les cheveux d’un orange vif ainsi qu’un bandeau barré qui montre fièrement l’appartenance au village d’Ame.

Ningendoû:Passons maintenant au corps suivant si vous le voulez bien. Ce dernier est lui aussi relativement important puisqu’on a notamment l’occasion de le voir lors de l’affrontement entre le Sanin Jiraya et les enveloppes du Dieu. Contrairement au Tendoû, celui-ci est relativement grand et doit certainement avoisiner les deux mètres, au bas mot. Très fin, il a l’allure d’une grande tige dépourvue de muscle. Et pourtant la force n’est pas absente à l’intérieur de cette frêle apparence puisqu’il arrivera notamment à bloquer des coups de taijutsu du sanin sans trop forcer, alors que ce dernier utilisait le senjutsu. Nous noterons donc une force relativement élevée malgré une apparence presque maladive.
Comme tout les membres d’Akatsuki, ainsi que tout les autres « Pein », le «Ningendoû» est habillé de la longue cape de l’organisation des lunes rouges, de cheveux roux qui ont cette fois la particularité d’être plutôt long, comme ceux d’une fille en réalité. Nous n’oublierons pas non plus le resplendissant bandeau ninja à l’effigie du village de la pluie. Ce dernier masque le front du guerrier défunt, marionnette divine.

Gakidoû:La suite se fera avec ce corps-ci. Lui aussi nous pouvons le voir pendant quelques temps lors du combat contre Jiraya. Eh oui, vous avez deviné il s’agit bien du gros balourd qui absorbe tout ! Une fois de plus, on peut dire que l’on descend d’un cran dans le « style » du personnage. Heureusement que Tendoû rattrape tout n’est-ce pas. Mais ne nous écartons pas. Comme dit plus haut, il s’agit bien du corps ayant l’incroyable faculté d’absorber n’importe quelle attaque, quelque soit sa puissance. Son apparence est assez laide, puisqu’il est un peu plus petit que le « corps principal » mais doit bien peser le double. Le résultat est assez prévisible : il a l’apparence d’une petite boule et si on le croisait dans la rue de dos, on ne saurait pas tout de suite qu’il s’agit d’un ninja.
Et pourtant détrompez-vous car c’est bel et bien le cas. La traditionnelle cape de l’Akatsuki est notamment la pour le rappeler, ainsi que montrer qu’il n’est pas un faiblard, loin de la même. Les cheveux roux du guerrier
sont moins longs que ceux du Ningendoû mais il n’en reste pas moins relativement long pour un homme. Comme les autres, il porte un bandeau
du village d’Ame qu’il utilise notamment pour garder ses cheveux plaqués contre son crâne. Le résultat n’est pas très esthétiques mais des plus efficaces en combat, et c’est encore ça l’important.

Jigokudoû:Passons maintenant à l’avant dernier corps de Pein. Ce dernier est, d’allure, le plus impressionnant de tous. Sa taille est à peu près équivalente à celle du Ningendoû, tandis que sa carrure vaut celle du Shuradoû. Large d’épaule, imposant et massif, il laisse parler les muscles de son corps pour faire peur à ses adversaires. Mais ce n’est pas tout : l’expression hautaine de son visage rivaliserait presque avec celle du Tendoû. Les capacités de ce dernier sont encore flou, mais il semblerait qu’il soit capable, lorsqu’il étrangle ses adversaires, de leur faire voir une tête de démon ou de Dieu qui lui permet d’interroger ses victimes et surtout d’absorber leur âme pour ainsi fouiller dans leur mémoire et trouver ce qui l’intéresse. Cette technique est notamment utile lorsqu’il recherche quelqu’un…

Chikushoudoû:Nous allons donc terminer avec le sixième et dernier corps qui est en réalité le septième. En effet il s’agit du remplaçant du corps vaincu et tué par le Légendaire Ermite Jiraya Tout comme son prédécesseur il a la faculté d’invoquer de nombreuses créatures différentes, et notamment les différents autres corps, ce qui est particulièrement pratique. Mais les plus observateurs d’entre vous auront sûrement remarqué la grande particularité de ce corps comparé aux autres. En effet, celui-ci est celui d’une femme, certainement d’une adolescente, mais toujours est-il qu’il s’agit d’une représentante du
sexe féminin. C’est assez exceptionnel pour que je prenne le temps de le préciser, assurément Autrement, nous pouvons aussi très simplement supposer que ce corps est certainement emprunté à une personne morte très jeune puisque la taille de la personne, mais aussi ses traits de visage
font très jeune. De toute, cette enveloppe est de loin la plus petite et doit certainement être à moins d’un mètre 70. L’aspect féminin est très peu
développé chez cette enveloppe, si bien qu’il est difficile d’être sur de sa sexualité. Toutefois, il semble tout de même assez évident que c’est bel et
bien le cas. En nous attardant un peu plus sur le visage de cette incarnation féminine de Dieu, nous pouvons y voir un tout assez réussi. La coupe de cheveux, pourtant des plus farfelus, décor magnifiquement bien l’enfantin visage de cette petite fille. Les différentes mèches rousses qui tombent sur le visage de cette emprunte cadavérique rendent le tout
relativement agréable à la vue. Au-delà de ça, la jeune fille possède des traits fins et raffinés, bien dessinés et quasiment symétrique. Elle a aussi sept piercings sur le visage, trois sur chaque joue et un sur le nez, ainsi que deux rinnegan à la place des yeux « normaux ». Et le regard que lance ces yeux est, à l’accoutumé, particulièrement calme et froid. On a l’impression qu’aucune émotion ne la transperce, qu’elle ne ressent rien et ne voit rien, qu’elle n’est qu’une carcasse vide. En même temps, c’est le cas…

Shurado:Le corps ayant broyé la gorge de Jiraya… Il semble être entièrement robotisé, et possède une sorte de dispositif lance-missiles à l'intérieur de ses bras (il peut détacher ses poignets et les projeter. Il peut également lancer des missiles en l'air qui retombent en pluie, causant beaucoup de dégâts. Doté d'une grande force, il lance Chikushodo au dessus de Konoha. Cette force est sûrement liée à la présence du lance-missiles, qui n'est autre qu'une grande chaîne de métal sur lequel sont disposés de nombreux petits missiles coniques. La chaîne (donc pas d'os) pourrait expliquer la force colossale de Shuradou.
Sa tête peut s'ouvrir en six parties. On constate alors la présence d'une sorte d'étrange cerveau, par lequel Shuradou tire un rayon laser dévastant plusieurs maisons en un seul tir ! Il possède en réalité quatre visages aux expressions différentes, six bras, et dans son dos, une sorte de longue bande de papier dont les bords sont dentelés ; ses pieds sont munis de propulseurs. [/b]

bienvenu

ps: j'aimerai précisé que pein na pas toute les affinité, il possède: les invocation, gravité, bouffé des âmes, enlevé les âmes, un corp avec des mécanisme bizarre, et absorbé le chakra en aucun cas il a 6 affinité

Histoire

Comme à son habitude, la pluie tombait en abondance sur le village d’Ame no kuni. Cette nuit là, le vent soufflait particulièrement fort. Dans une petite habitation, un enfant haut comme trois pommes jouait tranquillement au coin du feu. Sa mère préparait le repas tandis que son paternel dévorait des yeux un roman. Cette soirée semblait pour le moins calme, jusqu’au moment ou un groupe d’inconnu vinrent frapper à la porte. Après qu’on leurs ai ouvert, les hommes se précipitèrent dans la pièce, renversant plusieurs diverse objet sur leur passage. Tous portaient le bandeau frontalier du village de la pluie. Celui qui semblait être le chef s’avança vers le père et déroula un parchemin. La lumière du foyer projetait des ombres qui donnaient l’impression de danser le long des mûrs. L’enfant qu’en à lui avait déjà trouvé refuge dans les bras de sa mère. Après s’être éclaircis la voix, le chef de la troupe commença à lire le prospectus. Ses paroles firent trembler le couple. Tous deux étaient accusé de faire parti d’un complot consistant à assassiner Hanzou. Après qu’on leurs ai lié les poignées, les shinobis emmenèrent le famille vers l’extérieure. Les rues demeuraient toujours aussi sombres et sale. Alors qu’ils étaient en route pour leurs cellules, on pouvait entendre une alarme sonner. Au loin apparurent plusieurs centaines de silhouettes venant dans leur direction. On finit pas distinguer le symbole d’Iwa gravé sur leur bandeau. L’assaut sur le village venait de débuter. Avant que l’enfant n’ait le temps de se rendre compte de quoi que ce soit, la moitié du groupe fut décimé. Sa mère l’attrapa pour le tirer au de la bataille. Pendant se temps, son père affronter cinq ninja à lui seul… Il était fort, très forts ! Pourtant, tout deux ne se reverrai plus jamais…
Si certain se son toujours demandé à quoi pouvait ressembler l’apocalypse, l’enfant lui en avait une parfaite représentation sous les yeux. Des douzaines de cadavres mutilés jonchaient dans les rues. Les rivières de sang coulant le long des trottoirs finissaient leurs cours périple dans les égouts. Un spectacle moribond à ajouter pour un village déjà rongé par la souillure. La mère et son fils couraient de plus en plus, ils entraient dans une petite ruelle, que les combats ne semblaient avoir atteint. Pendant plusieurs heures ils restèrent caché plusieurs poubelles. Des explosions retentir de part et d’autre. On pouvait apercevoir un immense brasier consumer un buildings au loin. Les experts en katon avaient tellement bien fait leur travail, que même la pluie n’arrivait à le dissiper. Dans cette symphonie d’eau et de flamme les deux êtres resserraient leurs étreintes l’un contre l’autre. La bataille prit finalement fin, les ninjas d’Iwa venaient d’être repoussés. Le silence venait de reprendre ses droits. On entendait seulement le bruit des goûtes de pluie tomber à un rythme irréguliers. Tout deux finirent par s’extirper de leur cachette. Ils s’engouffrèrent avec méfiance dans la rue principale. L’enfant qui continuait de tenir la main de sa mère vint se blottir d’avantage contre elle. Les shinobis d’âme commençaient déjà à empiler les macchabées dans des charrettes. L’enfant ne put se détacher de ce spectacle moribond. Pendant un bref instant il crut apercevoir ce qui ressemblait à la tête de son père, mais celle-ci fut rapidement cachée par un corps. Sa mère qui observait également la scène l’obligea à détourner le regard. Elle ne put masquer ses larmes. Un jonin venait de les rejoindre. Il leurs proposa d’aller rejoindre le centre du village au cas ou une nouvelle offensive serait tenté. Toujours aussi bouleversé la femme ne prit pas le temps de réfléchir, et partie avec son enfant dans la direction indiqué. Mais quelque mètre plus loin, elle finit par s’immobiliser, ses yeux écarquillés. Elle lâcha la main de son fils puis composa plusieurs signes. Une barrière d’eau apparut tout autour d’eux. Les kunais qui venaient d’être lancé dans leurs dos restèrent prisonnier dans le liquide. De nous sceau, puis de violant jet d’eau jaillir de la protection aqueuse pour fuser vers le jonin. Celui-ci eu le réflexe de faire apparaître un mûr de terre pour s’en protéger. Tous les combattants d’Âme présent disparurent dans un nuage de fumée pour laisser place à des combattants d’Iwa, qui s’empresser de tuer les survivants qui venaient de sortir de leurs cachettes. La kunoichi ordonnât à son fils de s’enfuir. Lui ne voulait pas être séparé, mais face à la hargne que faisais preuve sa mère il dut se résigner à obéir. Tandis qu’il s’engouffrait une fois de plus dans une ruelle. Une immense vague balaya tout derrière lui. Cette fois-ci de vrai ninja d’âme arrivèrent pour prendre place dans la bataille. Aucun n’avait prêté attention à ce petit garçon seul, mouillé jusqu’au os qui courait pour sauver sa vie. Alors qu’il venait tout juste de pénétrer dans le centre ville qu’une silhouette bondit de l’obscurité pour lui assénée un violant coup à la poitrine. Sous l’effet du choque sa respiration se coupa pendant un bref instant. On le plaqua contre un mûr et il put sentir quelque chose de glacé posée contre sa gorge. Il s’agissait d’un ennemi qui avait probablement réussi à se glisser hors de l’affrontement. Les nuages retirent d’un de ces mystérieux grondement d’on ils avaient le secret, puis les cieux s’inondèrent d’un flash de lumière blanche qui se dissipa dissipât pour rendre sa place aux ténèbres. Pendant ce bref instant de clarté Nagato réussi à entr’apercevoir le visage de son agresseur. Celui-ci se présentait dans un pitoyable état. Couvert de sang, un de ses bras venait à lui manquer. Les plaies qui défiguraient son visage lui donnaient un air terrifiant. Sa respiration était haletante et l’odeur fétide de son alène parvenait aux narines du garçon. Ses lèvres arboraient une expression sadique. Plutôt qui de combattre d’autre ninja trop fort pou lui, il préférait s’en prendre à un enfant sans défense. Quand a lui du haut de ses quatre ans ne pouvait absolument rien faire. Malgré son jeune âge il avait deviné les intentions de cet homme. Soudain, il y eu en lui une sorte de déclique. Comme si quelque chose cachée au plus profond de lui commençai à émerger. Ses yeux changeaient de forme petit à petit. Cachées par l’obscurité l’homme ne pouvait s’apercevoir du changement. Pendant que la transformation s’opérer une étrange statue émergeait du sol juste derrière les deux personnages. De sa gueule béante sortait une main spectrale qui avançait lentement vers le shinobi. Avant qu’elle n’ait eu le temps de l’atteindre, l’homme venait de s’effondrer sur le sol. Plusieurs kunai l’avaient transpercé. La statue disparue en s’enfonçant dans la terre et les pupilles de Nagato reprirent leurs forme original avant d’avoir même d’avoir terminé leurs transformations. Un jonin d’Âme entrain de suffoquer se tenait face à lui. L’instant d’après s’écroula. Il venait de sacrifier ses derniers instants pour sauver cet enfant qu’il ne connaissait pas. A présent une seule chose importait pour lui qui était de retrouver ses parents. Sans prendre le temps de se remettre de ses émotions il courut en direction de l’affrontement, l’endroit qu’il fuyait plutôt. L’affrontement se faisait des plus sanglants ce qui étaient autre fois des hommes ressemblaient désormais à des bêtes. Seul la kunoichi réussissait encore à conserver son calme. Une imposante masse d’eau l’entourait. Au même instant le liquide se concentrât en une sphère devant elle. Nagato ne put s’empêcher de l’appeler. Cela lui fut fatal… Au moment ou elle tourna la tête pour voir son fils, l’air se déforma tout autour est son corps vola en éclat. Le temps semblât s’arrêter un bref instant aux yeux de l’enfant. Le vacarme des combats ne parvenait plus à ces oreilles. La tête entre les mains, il poussât un hurlement avant de fondre en larme. Cette nuit là la pluie tomba plus intensément que jamais. Pendant trois nuit de suite l’enfant ne cessa de pleurer dans un refuge en repensa à la vision de sa mère déchiqueté et de son père décapité. Il refusa de se nourrir et en perdit même le sommeil. La première porte menant à ses sentiments venait de se refermer. Il passa les deux années qui suivirent dans un orphelinat. Là bas on le voyait généralement traîner seul dans les aléas de la coure. Plutôt renfermé il ne réussi jamais à se faire de véritable ami. A part peut être une jeune fille nommé Konan elle aussi orpheline. Ils devinrent très proche l’un de l’autre, mais une fois de plus la guerre frappa. La plus part des enfants furent tuer tandis que Nagato et Konan réussirent à s’enfuir ensemble. Après avoir traversés l’entrée, la jeune fille donna l’idée de se cacher dans les égouts. Nagato ouvrit avec difficulté une plaque et tout deux disparurent. Caché dans les ténèbres un nouvel environnement s’offrait à eux. Beaucoup plus sombre, une odeur nauséabonde venait parcourir leurs narines. Les souterrains étaient vraiment répugnants, bien plus sale qu’a l’extérieure. Après avoir descendu l’échelle, ils se retrouvèrent à patauger dans une eau crasseuse. Konan commençait déjà à regretter son idée. Après plusieurs heures de marches infructueuses les orphelins finir par désespérer. On put soudainement discerne une minuscule lueur au bout de se tunnel qui paraissait sans fin. Nagato ce précipita le premier. Ses vêtements se trouvaient dans un piteux état. La galerie finis par déboucher sur une immense salle d’on les mûrs se trouvaient tapissés de centaine de tuyaux. A sa droite un bassin rempli d’eau souillé, à sa gauche un autre bassin mais cette fois empli d’une eau stérile. Et juste devant se dressait un minuscule pont de pierre fait à l’aide de lourde dalle entreposé les unes devant les autres. De l’autre côté se trouvait une ouverture qui ressemblait étrangement à une sortie. Le garçon voulu poursuivre sa route quand une main se posa sur son épaule. Il s’agissait de Konan, l’aire ébahie elle pointait du doigt un des bassins de rétention. Nagato ne comprit par ce que son amie voulait lui montrer. Il n’y avait absolument rien juste de l’eau… Mais la jeune fille continuait de la pointer avec toujours la même expression d’effroi sur son visage. Après avoir regarder plus attentivement l’enfant comprit qu’elle ne montrait pas le liquide. Mais ce qu’il reflétait. Sa bouche s’ouvrit d’étonnement et de peur à la fois. Les deux enfants n’osaient regarder ce qui se tenait accroché au plafond juste au dessus de leurs têtes. Pourtant ou bout d’un certain temps passé à rester immobile ; ils la levèrent en cœur. Un caméléon géant demeurait immobile la tête en bas cramponné à la voûte. Le fait de possédé une taille démesurée n’était pas non plus la seul chose la plus étrange cher cet animal. L’extrémité de sa queue avait l’apparence d’une gueule de serpent. Le reptile ne semblait guère prêter attention aux deux enfants. Ses yeux totalement indépendant l’un de l’autre partaient dans des directions différente. Ceux-ci n’arrêtaient pas de bouger et non ami commençaient à se demander quand est-ce qu’il finirait par les remarquer pour leur sauter dessus. Cependant le lézard n’en fit rien. Ce fut Nagato qui décida de franchir le pont en premier. Ce n’est pas que cela ne réjouissait, mais il ne voulait pas se permettre que Konan prenne des risques. Le jeune garçon traversa le pont à grande enjambé en prenant soin de faire le moins de bruit possible. Se fit maintenant au tour de Konan de traverser. Tout se passa pour le mieux jusqu'à la moitié du trajet ou elle trébucha à cause d’une fente dans la roche. Le bruit du choque attira l’intérêt de l’animal et ses yeux globuleux se posèrent sur elle. La bête laisse échapper un grognement étouffé puis se mit à descendre le long du mûr. S’en suivis d’une course effrénée en direction de la sorti. Nagato revint aider Konan et tout deux courir le plus rapidement possible. Heureusement le caméléon ne semblait absolument pas pressé. Il venait de se figer et continuait de fixer les enfants. Sa gueule s’ouvrit pour laisser jaillir une langue crapoteuse de plusieurs mètres de long. Heureusement nos amis furent plutôt chanceux car ceux-ci réussir à l’éviter. Il montèrent un escalier et se retrouvèrent à l’extérieure. La plupart du temps après ce genre de scène on s’attend à se retrouver à l’extérieure sous un soleil radieux, une petite brise légère qui viens nous caresser les narines. Mais se fut la pluie torrentielle d’Ame qui les accueillit. L’orage battait de son plaint au moment de leur sorti. On pouvait encore entendre le vacarme des combats. Ils devront passé la nuit dehors, et il leurs serait beaucoup trop risqué de s’endormir. Les voilas qui se retrouvaient en plaint cœur d’une ruelle dévasté. Les lieus étaient déserts à l’exception de quelques habitants d’on leurs maison venait d’être détruite et reposaient dans des tentes de fortune. Ce triste spectacle ne faisait que les décourager.

Après avoir marcher plusieurs les deux enfant finirent par s’effondrer d’épuisement. Appuyé l’un contre l’autre ils avaient perdu tout espoirs de trouver un abri. Quand soudain une lumière s’alluma à l’intérieur d’une maison qui semblait ne pas avoir été touché par la guerre. La porte s’ouvrit et une petite silhouette au dos courbé en émergea. Les enfants regardèrent avec étonnement cette inconnue qui leur faisait signe d’entrer. Après s’être rapproché Nagato put distinguer plus nettement les très de leur hôte. Il s’agissait d’une veille dame au visage déformé les rides mais au sourire chaleureux. Konan entra la première suivis de près part son ami. Le logis ne se composait que d’une seule pièce dans une pièce pour le moins anarchique. Le papier pin tombait en lambeau. On pouvait distinguer un amoncellement de bagatelles pour la plus part inutile. La toiture ne semblait plus en avoir pour très longtemps. Mais se qui attira leurs attention était le foyer qui reposait au centre de la pièce. Au dessus reposait une petite marmite pleine de riz trempé dans de l’eau en ébullition. La veille dame prit deux bols qu’elle remplit de nourriture pour les tendres au orphelin. Le riz était cramé et très collant. Mais les enfants avaient tellement faim, qu’ils finirent leur bol en un rien de temps. Ils auraient voulu en redemander, mais en constatant dans quelle pauvreté vivait cette noble dame et de la générosité d’on elle faisait déjà preuve les enfants préférèrent se retenir. Elle les observait d’un air rêveur et nostalgique. Comme si la vue de ces enfant lui rappelait de nombreux souvenir. Après le repas ils allèrent se coucher. Il y avait deux matelas poussiéreux posé sur le sol. Nagato et Konan dormirent ensemble sur l’un pendant que la veille dame nommé Shayou s’allongeait sur l’autre. Tous s’endormirent presque instantanément. Le matin qui suivit les enfants décidèrent de partir au plus tôt. Bien que la générosité de notre cher Shayou ne semble pas avoir de limite. Les enfants ne voulaient point en abuser. Il pleuvait beaucoup moins que d’habitude. On pouvait presque entrevoir le soleil entre les nuages grisâtres. Après avoir passé la journée à déambuler dans les rues Nagato commençait de nouveau à désespérer. C’est alors qu’une alarme se mit à retentir. Cela voulait dire qu’une nouvelle attaque se préparait contre le village. Certains habitants déjà paniqués couraient se réfugier. Les orphelins décidèrent de faire de même. Mais pas dans les égouts, au non sûrement pas ! Pendant qu’ils s’enfuyaient on pouvait voir derrière eux un gamin courir avec entre les bras un sac le sac de pomme qu’il venait de dérober au marchant d’à côté. Face à eux se trouvait un entrepôt désaffecté. Apparemment se devait être leur jour de chance car la porte n’était pas fermé. Une fois à l’intérieure ils ne s’attardèrent pas à examiner les lieus et allèrent se cacher sous un escalier rongé par la rouille. Chaque minute s’écoulait semblait être une éternité aux yeux de nos bambin. L’alarme finit par s’arrêter et le silence reprit part. Enfin presque car on pouvait entendre drôle de bruit qui résonnait d’en tout l’entrepôt. Comme si l’on croquait dans quelque chose de juteux. Puis qu’on la mastiquait. Des deux enfants se regardèrent longuement. Le son provenait d’au dessus des escaliers. Après un long instant d’hésitation ils s’avancèrent au bord des marches puis s’accroupirent. Ils étaient tellement proches du sol qu’on aurait pu croire qu’ils trempaient. Nagato gravit les marches avec la plus grande précaution. Une fois arriver en haut il laissa dépasser ses yeux pour reconnaître le gamin rencontré plutôt entrain de goinfrer de pommes. Celui-ci venait toujours juste de déceler leurs présences. IL se relevât et remarqua Konan quelques marches plus bas. Les trois enfant furent soulager de constater qu’il n’y avait aucun danger. Yahiko continua de fixer les nouveaux arrivant avec curiosité. Il plongea la main dans son sac pour en ressortir deux pommes.
-Vous en voulez ? Dit-il en continuant de fixer ce qui allait bientôt être ses compagnons.
Pendant l’année qui suivit Yahiko, Konan et Nagato ne se quittèrent plus. Yahiko se considéré un peut comme le chef de la bande, avant de s’auto proclamer trois mois après leurs rencontre. Ils vécurent une misérable vie de vagabond. Volant de la nourriture pour survivre et dormant ou ils pouvaient quand la nuit venait à tomber. Jusqu’au jour ou Yahiko alla à la rencontre de trois shinobis de Konoha pour leurs demander de la nourriture. Konan et Nagato était resté en retrait au cas ou ceux-ci s’avérés dangereux. Il s’approchât de se drôle de personnage aux longs cheveux blanc. Celui-ci lui donna trois petits gâteaux sur une feuille de papier. En voyant cela il fit signe à ses compagnons de venir le rejoindre. Disant qu’ils n’avaient pas l’air d’être méchant. La kunoichi on regard autoritaire leur dit de s’en aller. Mais les enfants restèrent. Quelque chose leurs tenait vraiment à cœur et il fallait que le demande. Une fois de plus ce fut Yahiko qui prit les devants.
-Voulez-vous nous enseigner l’art du ninjutsu. Dit-il d’une voix désespéré. Les semaines précédentes avaient été un véritable enfer pour eux. La nourriture manquait énormément. Et ils avaient passé le reste de leur temps libre à fuir les ninjas des pays ennemis. La seule solution pour qu’ils puissent survivre et aider leur village soit qu’ils apprennent à contrôler leurs chakra. A ce moment la Konan tendit un origami à l’homme venait de leurs donner les biscuits en guise de remerciement. Même à ce jours Nagato est toujours aussi surpris par la passion de l’art du papier plier de la jeune femme. A l’époque de l’orphelinat, elle passait le plus claire de son temps à en faire.
-Et pourquoi on ne tuerait pas ces enfants ? Les orphelins de guerre son nombreux. La vie est cruelle avec eux. On leur rendrait service en les tuant maintenant. Dit l’homme aux cheveux noir et on teint blanchâtre. Cette proposition glaça le sang des enfants. De ce ninja semblait une étrange force, comme une sorte d’aura malveillante. Heureusement son collègue le stoppa immédiatement. Il demanda à ses compagnons de rentrer pendant qu’il s’occuperait d’eux pendant quelque temps. Le cœur de Nagato fit un bond. Alors ça y était ! Ils allaient enfin apprendre le ninjutsu. La chance de pouvoir ramener la paix son pays se présentait à lui. Car beaucoup d’idée circuler dans son esprit depuis toutes ces années. La chose qu’il désirait par-dessus était que tout les conflits cesse afin que lui et ces amis puissent vivre normalement. Tous semblaient très enjouer à l’idée de pouvoir débuter leur entraînement. Et tout particulièrement Yahiko qui ne cessait d’en parler. Plus tard dans la soirée, leur nouveau sensei les emmenât dans une petite maison en bois au bord d’un lac, qui avait sûrement du lui servir de planque au cours de ses mission dans le village.
-Wahou ! Vous avez grillez un poisson entier avec votre attaque katon. Je me souviendrai de cette astuce sensei. Dit Yahiko en se servant une énorme part. Malheureusement Nagato n’avait pas le cœur à rire. Ce repas convivial lui rappelait l’époque où la guerre ne faisait pas encore rage. Ou il était encore entouré par sa famille et ce qu’il aimait. Jiraya tenta de réconforter son élève en lui disant que la guère ne durerait pas éternellement. C’est alors que Yahiko s’emporta soudainement. Lui passait que la seule manière pour qu’il puisse s’entendre avec leurs ennemis est qu’ils comprennent ce qu’ils avaient vécu en souffrant tout autant que. Mais tout le monde à cette table savait que cela n’arriverait jamais. Le jeune se rassit en silence, il donnait l’impression de pleurer intérieurement. Le lendemain Yahiko et Nagato partir au bord du lac pour tenter d’attraper le prochain repas. Chacun se rangea dans son coin et ne dit pas un mot. Une bonne heure s’écoula mais toujours rien. Konan finit par les rejoindre pour leur dire qu’il était temps de rentrer. Ce qu’elle ne savait pas c’est qu’un inconnu l’avait suivis jusqu’au bord du lac. Un ninja d’Iwa surgi de nulle part et empoigna le bras de la jeune fille. Les deux garçons voulurent se jeter sur lui, mais l’homme les éjecta d’un seul geste de la main. Il demanda de la nourriture ainsi que de l’argent sinon il les tuerait tout les deux. Un katana se trouvait désormais pointé en direction de Yahiko. C’est alors que cet force caché en lui se mi de nouveau à émerger. Cette fois-ci rien ne pourrait arrêter la transformation de ses yeux. Une statue portant les mêmes pupilles que celles de l’enfant émergeât du sol juste derrière. L’habitant du pays de la terre semblait complètement paralysé par la peur. Nagato fixer son ennemi avec un regard noir. Personne ne ferait de mal à ses amis. Personne, il était près à tout qu’il ne leur arrive rien. Il s’agissait de la seule famille qu’il lui restait. Il ne pouvait pas la perdre !
Deux mains spectrales sortir de la bouche de la statue. L’une vint s’enrouler autour du coup de l’ennemi tandis que l’autre se posa sur son front. Celle-ci se retira en arrachant l’âme du pauvre homme au passage. Son être fut ensuite dévoré et la statue retourna à la terre. Pendant plusieurs instants les enfants restèrent figé. Konan partie prévenir Jiraya pendant que les deux garçons restaient immobiles encore sous le choc. L’instant d’après leur sensei arriva. Il semblait stupéfait par la forme qu’avaient pris les yeux de son élève. Nagato quand a lui était rongé par les remords. Il venait de tuer un homme. Comment cela a-t-il put arriver ? Et d’où provenait cette étrange statue ? Plusieurs d’idées bouillonnaient dans ça tête et beaucoup de chose allait être remit en question. Après le repas ils se retrouvèrent dans la grotte ou ils avaient rencontré les sanins. Jiraya annonça que leur entraînement au ninjutsu allait pourvoir débuter. Bien entendu Yahiko prit les devant n’hésita pas à exprimer sa joie.
-Merci de m’avoir sauvé tout à l’heure Nagato ! Mais tu peux être sur que c’est moi qui te sauverai la prochaine fois. Dit-il !
-Hein ? Mais il me semble que Nagato est plus fort que toi pourtant ! Répondit Konan en riant.
-Bah euh… Je deviendrai plus fort en m’entraînement ! Tu peux dire ce que tu veux Konan ! Rétorqua t-il plus énergique que jamais.
-Hola ! On se calme, dit Jiraya en tapant dans ses mains. Si on commençait par apprendre à malaxer votre chakra ?
-D’accord sensei ! Crièrent les enfants en cœur, à l’exception de Nagato. Cette nuit là, l’enfant n’arriva pas à fermier l’œil. Le souvenirs de ce qui s’était passé plus tôt dans la matinée, continuait de le préoccuper. Après s’être levé en toute discrétion, il parti s’assoire à l’extérieur pour réfléchir. C’est alors qu’une main se posa sur son épaule.
-Si quelque chose ne va pas… Tu peux m’en parler tu sais ? Dit Jiraya en allant s’assoire à ses côté. C’est à cause de tout à l’heure pas vraie ? Nagato baissa la tête. Peut être était-il temps de se confier à quelqu’un ?
-Quand j’ai vue que Yahiko et Konan était en danger…. Je suis devenue comme fou de rage. Alors j’ai eu peur. J’étais tellement en colère que j’ais du le tuer sans m’en rendre compte. Le ton de sa voix était faible. Ce que j’ais fait est mal…
-Nagato ! Son sensei parlait de manière douce et reposée. Il ne voulait pas que son élève soit ainsi. Même moi je ne sais pas si c’est mal ou bien. Mais grâce à toi Konan et Yahiko son encore en vie. Il ne peut s’agir que d’une bonne chose que de protéger les êtres qui nous sont chers. Nagato se tourna face à son maître et pris un air étonné. Celui-ci poursuivit son discours.
-Quand tu es blessé, la douleur fait monter la colère en toi. Mais quand tu fais du mal à quelqu’un, les remords te submergent. Et c’est parce qu’on est capable d’éprouver ce genre de sentiment qu’on peut faire preuve de compassion et de gentillesse. C’est ce qui fait de nous des humains.
-Que voulez vous dire exactement sensei ? Demanda l’enfant intriguer.
-Qu’il te faut grandir !
-Mais… Comment ?
-Comment ? Et bien, c’est quelque chose que tu dois découvrir par toi-même. Nagato repensa au jour ou avec Konan ils avaient rencontré Yahiko. Grâce à lui, ils avaient put survivre. C’est lui qui généralement volait de la nourriture pour la leur donner.
-Je veux juste les protéger tous les deux. Dit-il les yeux emplit de larme. Peu importe les souffrances que je dois endurer.
-Je vois… Répondu son maître le regard plaint de compassion. Mais je dois avant tout te prévenir sur le pouvoir que peuvent receler t’es yeux. Ce que tu possèdes se nomme le ninnegan et c’est probablement le plus puissant doujutsu qui n’ai jamais existé. Dans l’avenir si tu te sers de ce pouvoir de manière juste, il pourra te permettre de protéger t’es amis ainsi que d’apporter la paix sur cette terre. Tu dois en faire un bon usage. Sur ces mots le sanin s’en alla, laissant seul son élève avec cette nouvelle déclaration. Il ne ferma pas l’œil de la nuit, trop préoccupé par les propos de son maître.
Bien que ardue les trois années qui suivirent passèrent extrêmement vite. Les trois orphelins apprirent l’art du ninjutsu. Nagato était le plus doué dans ce domaine là. Avant même que leur entraînement ne s’achève il parvint à réaliser l’impassable qui est de maîtriser les six changements de nature du chakra. Yahiko tentait t’en bien que mal de rattraper son camarade, mais l’écarts se creusaient un peu plus chaque jour. Vint le moment où les trois enfants parvinrent à battre le clone de leur sensei en utilisant de parfaite technique de ninjutsu. Jiraya éclata d’un rire emplit de fierté avant d’annoncer qu’il s’agissait de leur dernier entraînement avec lui ; qu’il pouvait rentrer dans son village sans inquiétude. C’est ainsi qu’ils virent le brave homme s’éloigner. Les larmes aux yeux ils le saluèrent une dernière fois avant de prendre leur propre chemin.

Aucun ne se doutai que c’est à partir de cet instant que le cauchemar allait véritablement débuter. Le groupe continua de se servir de la cabane de leur sensei comme d’un repère pendant qu’il que le reste du temps, ils effectuaient des missions pour le village. Enfin si seulement les choses avaient put être aussi simple… Les affrontements avec les ninjas des pays voisin ressemblaient plutôt à des tueries. Il y eux de nombreuse bataille, et chacune assombrissait un peu plus le cœur de l’enfant élu. Le pouvoir de son doujutsu lui permit d’enchaîner les victoires. Mais la maladie commençait à faire son apparition. Resté silencieuse pendant toute ces années, la voila qui venait à le ronger lentement. Bien que la douleur devenait de moins en moins supportable chaque jour, son rêve de paix le poussait à continuer. Ses limites furent souvent atteintes, mais ses amis étaient toujours présents pour le soutenir. Mais au fur et à mesure que les années passèrent les enfants devenus des personnes adultes commencèrent à se demander si tout cela avait vraiment un sens. Nagato finit par se rendre compte que le problème ne venait pas entièrement des autres. Mais de son propre village… Avec le recule il comprit pourquoi ses parents avaient autrefois attentés à la vie d’Hanzou. Eux savaient qu’il n’était pas totalement innocent dans cette guère. Mais que pouvait-il y faire ? Lui avec son corps maladif contre l’un des shinobis les plus puissants du monde. Probablement plus fort qu’un kage lui-même. Alors qu’il affrontait avec ses compagnons un groupe d’ennemi provenant de village de Kusa ses pensées se portaient dans un autre monde, celui de son esprit.
-Nagato mais qu’est ce que tu fais ? Dépêche toi de bouger de là. Lança Yahiko en voyant que son ami commençait à rêvasser. Celui-ci composa en vitesse quelque signe et un mur de terre se souleva pour le protéger de l’attaque Katon qui fonçait vers lui. La défense vola en éclat dans une pluie de projectile de terre.
-Nagato ne te brusque pas trop. Dit Konan qui commençait à s’inquiéter. Elle créa un kami shuriken quelle lança aussitôt pour intercepter le projectile d’un opposant qui fusait vers elle.
-Bon nous devons nous dépêcher d’en finir au plus vite. Vous êtes tous les deux prêts ? Annonça Yahiko en se tournant vers ses camarades. Tout deux acquiescèrent d’un signe de tête. La jeune femme composa un signe de la main et son corps d’évapora dans une nuée de feuille blanche. Celle-ci se posa sur les ninjas de Kusa pour les envelopper entièrement. Nagato composa plusieurs sceaux et une vague de quatre mètre de haut déferla dans toute la rue. Au même moment Yahiko qui venait de faire parcourir l’affinité raiton sur son bras le plongea dans le liquide. Marée de foudre s’abatis sur les ennemis au moment même ou Konan se retira. N’aillant rien pu voir venir les pauvres ne purent en réchapper. Nagato tomba à genou… A bout de souffle, du sang jaillit de sa bouche. Il se releva péniblement refusant l’aide de ses compagnons. Ce jour là, le temps était particulièrement brumeux, on ne pouvait voir bien loin. Le spectacle ce faisait pour le moins étrange. Aucun son ne parvenait aux oreilles des shinobis. Les lieus venaient de s’imprégner d’un silence mort. Ils comprirent rapidement d’où venait le problème… Piégé dans une technique mêlent ninjutsu et illusion ils me trouvaient à la merci de l’ennemi. Konan senti une douleur vive parcourut son dos avant de s’effondrer. Yahiko courut à son secours, mais la brume s’épaissit un peut plus une fois qu’il eu parcourut quelque mètre. On ne pouvait désormais plus rien voir. Le jeune se trouvait maintenant séparé de Nagato et il n’arrivait plus à retrouver Konan. La lame s’abaissa derrière et lui transperça l’épaule sur une dizaine de centimètre. Il essaya de crier pour signaler sa présence. Mais il n’eu pour réponse que ce silence d’outre monde. De son côté l’héritier du rinnegan sentait ses poumons le brûler. Il commençait à suffoquer quand un kunai lui vint de face pour lui entailler la poitrine. Le jeune homme eu le réflexe d’empoigner le bras de son ennemi avant que celui-ci ne se retire. Il utilisa son affinité raiton pour lui bloquer les muscles. Après cela il chercha à tâtons dans la brume pour poser sa main autour de son cou. La sentence allait être prononcé. La statue de Rikudou émergea du sol sa gueule béante ouverte. Deux mains spectrales en sortir. L’une s’enroula autour de la nuque du ninja de Kusa pendant que l’autre posa sa paume sur son front. Elles me figèrent pendant un instant, comme si elles vérifiaient si cet homme méritait de mourir ou pas. Après un bref instant d’hésitation la main se referma et arracha l’âme du shinobi qui tomba raide mort. La surdité qui l’entourait se dissipa peu à peu. Les cris de Yahiko appelant Konan devenaient de plus en plus présent. On pouvait entendre la faible voix de la jeune femme appeler à l’aide. Yahiko se précipita pour aller l’aider. En regardant de plus près on pouvait deviner que la blessure provenait d’un katana. Il prévint Nagato du danger au quel il faisait face. Celui-ci demanda à son ami de se coucher. Après avoir composer plusieurs signes une traînée de flamme sortie de sa bouche et le jeune homme balaya la zone avec son attaque. Il ne s’agissait nullement d’une tentative désespérée pour toucher son adversaire. Mais plutôt d’un moyen pour réchauffer l’atmosphère afin que la brume puisse s’élever. Nagato s’effondra une fois de plus sur le sol humide. Un flot de sang jailli de sa bouche et il perdit à moitié conscience. Le trio n’en revint pas ils découvrirent l’homme qui leur faisait face. Leurs yeux s’écarquillèrent en le voyant. La peur ainsi que le doute débutaient leur ascension. Hanzou en personne ! Aucun ne comprenait se qu’il faisait là ni pourquoi il attaquait des habitants de son propre village. L’homme observait ses victimes d’un air grave. Rien ne semblait pouvoir le faire fléchir. Parfaitement conscient de la puissance de leur ennemi, nos se sentaient comparable à de simple souris entre les griffes d’un chat affamé.
-Votre force est vraiment incroyable. Malheureusement cela pourrait devenir dangereux si vous veniez un jour à vous retournez contre moi. Et je ne peux me permettre de prendre autant de risque. Dit Hanzou de sa voix roc étouffer par son masque à oxygène. Il prit son katana à deux mains et fit face à Nagato. D’un simple bond, le ninja se trouva à porter d’attaque. On arme fendit l’air et toucha plusieurs organe au passage. A moitié éventré les yeux de Yahiko plongèrent dans les ténèbres. Nagato vit son ami se sacrifier pour lui poussa un hurlement de désespoirs. Hanzou tenta une nouvelle attaque, mais une floper de kunai tomba du ciel. Une trentaine de ninja d’Iwa surgir de tous les côtés. Tous n’avaient d’yeux que pour la salamandre. Les fois on celle-ci se montrait était tellement rare, qu’une occasion de pouvoir l’éliminer ne pouvait être gâché. Nagato rassembla ses dernières forces pour prendre Yahiko et s’enfuir avec Konan qui venait de réussir à se relever. Sa blessure n’était pas très grave, mais il fallait y faire attention car elle saignait beaucoup. Deux minutes plus tard Le trio se retrouva sur un toit. Yahiko allongé sur le sol respirait faiblement.
-Tu vois Nagato ? Je t’avais dit que c’est moi qui te sauverai la prochaine fois. Dit-il le sourire aux lèvres, juste avant de s’éteindre. Konan ne pu retenir ses larmes et ne cacha pas son chagrin. Nagato quand a lui restât de marbre. Ses yeux levés vers le ciel semblaient chercher quelque chose. Une goûte d’eau tomba sur son front puis glissa entre son nez et ses yeux. Puis une autre goûte fit de même. Désormais c’est ainsi qu’il pleurerait. La pluie refit son apparition. Plus violente que jamais elle s’abattait sur le corps rongé par la douleur. Qu’importe que les flots du ciel s’abattent sur lui. Jamais ils ne pourraient noyer sa peine. Son visage ne laisserait plus rien transparaître, la douleur venait de sceller à jamais l’accès à ses sentiments.
Après ce jour funeste Nagato ne fut plus jamais le même. Il passa les semaines qui suivirent enfermé à se demander à quoi tout cela pouvait rimer. Il ne cessait de repenser à ce que Yahiko disait : qu’avant de pouvoir penser à une entente leurs ennemis devaient souffrir tout autant qu’eux pour qu’ils puissent le comprendre. Il repensa également à la veille Shayou qui maintenant devait être décédé et de la générosité d’on elle avait fait preuve alors que tout les malheurs du monde semblaient s’abattre sur elle. C’est ainsi que cet idéal s’imprégna en lui. Pendant les mois qui suivirent Nagato restât cloîtré dans un laboratoire qu’il avait construit. Quelques années plutôt le jeune homme s’était rendu compte que son âme était facilement divisible. Ses recherches lui prirent tout son temps libre. Les seuls fois ou Konan le voyait sortir s’était pour récupérer plusieurs cadavres on ne sait trop pourquoi. Nagato finit par ignorer complètement Konan et alla jusqu'à oublier qu’autre fois sa présence ne le rendait pas complètement indifférent. Plus il approchait du bute et plus de nouveau pouvoir s’offrait à lui. Vint le jour où il infligea l’ultime souffrance à son corps pour finalement grandir, Pain Rikudou était né ! Hanzou lui-même ne pu tenir tête au nouveau dieu. Ce fut évidemment un jour de pluie que cela arriva. Ningendou tenait le ninja par la gorge. Gakidou et Chikushoudou eux s’occupaient de la garde personnel du chef du village ainsi que de son invocation, une salamandre géante. L’instant fatidique arriva. Ningendou arracha l’âme du ninja et jeta sa carcasse dans la boue comme s’il avait s’agit d’un vulgaire animal. Tout les corps à l’exception de Tendou se séparèrent pour aller exécuter les membres de sa famille. Pendant que le corps principal grimpait au sommet d’un toit. Finalement il allait l’offre d’Uchiwa Madara. Cela ne pourrait que lui permettre d’atteindre son bute plus facilement. La pluie s’arrêta soudainement. Les sombres nuages se dissipèrent et un rayon de lumière vint éclairer le visage de Tendou. Sentiment de tranquillité l’envahit. Pour la première fois de ça vie, il arrivait à entre apercevoir la lumière au fond de se sombre tunnel.

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