Kojiro avait beaucoup changer depuis sa rencontre avec le vielle Hago,il avait passer trois semaine entières chez le vielle homme pour retrouver la sérénité.Le jeune une fois parti avait décidé de retourner à l'origine de son mal,le village de la brume.Il eut du mal à se décider mais il devait affronter les démons qui le hantais depuis sa naissance,la cruauté de la guerre,la mort de son frère Ujimasa,la chute du clan Hôjô et l'indifférence des villageois.Parmi les villageois qui l'avait traumatiser pendant son enfance il y avait un ninja peu scrupuleux nommer Hiddeika qui vouait une haine particulière à Kojiro depuis son enfance.Ce derniers avait tenter de mener Kojiro à la mort,briser le clan Hôjô.Cette homme disait partout qu'il fallait tuer les Hôjô avant qu'ils grandissent.Hiddeika l'avait toujours détester,pourquoi,kojiro ne le savait pas et il finit par tuer Hiddeika en pendant son adolescence.Kojiro avait commis de nombreux crimes dans se village,il se ferait surement tuer si il décider de revenir.Mais le Hôjô refusa de fuir voulant à tout pris se racheter de ses crimes quittes à passer le restant de sa vie à moisir en prison.Puis il se mit à parler à haute voix comme pour exprimer le fond de son être et son passé au sein de son clan:
"Ils me trouve génial,mes jutsus les émerveillaient et tout les ans ce fut le triomphe et la gloire.Je leur faisait des surprises quand la lune s'éveillait et ils crier avant même de m'apercevoir.Sans le moindre effort je m'amusais à jouer au fantôme et presque aussitôt c'était la panique,un seul banal quand l'on sait faire bouh faisait fuir les membres les plus stoïques.Mais jours après jours s'était ma même déprime,je n'éprouvais plus rien en commettant mes crimes...et moi Kojiro l'épouvantail,j'avoue m'être lassé de la même bataille.Dans mon corps il règne à présent une bien étrange mélancolie,pour moi la vie n'a été que sanglot et la mort mon lot.J'étais pour eux l'esprit du mal, le génie infernal,les revenant n'allez pas en revenir.Très jeune on ma marié à la peur,l'horreur et la terreur pour le meilleur et surtout le pire.Lorsque l'envie m'emportait mes crimes fracassant pouvait résonner à plus de cent vingt kilomètre.J'avais toujours souhaiter qu'un jour,oui un jour que je pourrais me faire entendre,moi l'épouvantail qu'on ai privé d'entrailles,je ne voulais plus de couronne,mais comment pouvait-ils comprendre s'ils savaient seulement comme j'aurais aimer la rendre.Puis pouvoir et gloire furent bien dérisoire face au néant de mon désespoir.Me voici à présent"
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